Increiblemente me sorprendió gratamente el papel de felina de Michelle Pfeifer en Batman returns. (no confio demasiado en los gatos...)Un abrazo.
¡Ojo al gato!(que díria Jose María García)
Voy a dejar un platito con leche esta noche a ver si viene la pfeifer a casa...
Que quieres que te diga....Me gustan los gatos.rrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr.
Y aún hay quien se queja cuando le dan gato por liebre...
mmmmm¡, me encanta esa escena..., es... cómo diría yo?bueno, mejor no lo digo, que me da vergüenza.
Touché! Oh, mon Dieu! Tu es si adroite! Seulement un second mais on dirait un siècle.pesoj agerbaf
No es por nada, pero a Batman le ha dado un "gat-illazo". Como diría Piolín: pobre gatito lindo con alas.Ahora bien, que una gata de siete vidas le saque el jugo a un segundo, es para morderse los labios!!!
¡¡¡lo que me gusta a mi esta gatita!!!
Pienso que la mujer tiene mucho de gato, y el gato mucho de mujer. Así que Catwoman es una perfecta combinación.¡Saludos, Sintagma!
magnífico y concentrado texto... recoge el momento perfectamente.besos.
esa linda gatita...(qué peligro, madre)un abrazo
¿Tú crees que la armadura del tontol'haba de Batman se habrá dado de sí? :)
Pa mí que al contrario, pa mí que en cuanto la vió dar el saltito se encogió todo él.
Le ChatIDans ma cervelle se promène,Ainsi qu'en son appartement,Un beau chat, fort, doux et charmant.Quand il miaule, on l'entend à peine,Tant son timbre est tendre et discret ;Mais que sa voix s'apaise ou gronde,Elle est toujours riche et profonde.C'est là son charme et son secret.Cette voix, qui perle et qui filtreDans mon fonds le plus ténébreux,Me remplit comme un vers nombreuxEt me réjouit comme un philtre.Elle endort les plus cruels mauxEt contient toutes les extases ;Pour dire les plus longues phrases,Elle n'a pas besoin de mots.Non, il n'est pas d'archet qui mordeSur mon coeur, parfait instrument,Et fasse plus royalementChanter sa plus vibrante corde,Que ta voix, chat mystérieux,Chat séraphique, chat étrange,En qui tout est, comme en un ange,Aussi subtil qu'harmonieux ! IIDe sa fourrure blonde et bruneSort un parfum si doux, qu'un soirJ'en fus embaumé, pour l'avoirCaressée une fois, rien qu'une.C'est l'esprit familier du lieu ;Il juge, il préside, il inspireToutes choses dans son empire ;Peut-être est-il fée, est-il dieu ?Quand mes yeux, vers ce chat que j'aimeTirés comme par un aimant,Se retournent docilementEt que je regarde en moi-même,Je vois avec étonnementLe feu de ses prunelles pâles,Clairs fanaux, vivantes opalesQui me contemplent fixement. Charles BAUDELAIRE, Les Fleurs du mal (1857)
me quedo con "pero ahora, en este segundo eres mio".......da juego
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16 comentarios:
Increiblemente me sorprendió gratamente el papel de felina de Michelle Pfeifer en Batman returns. (no confio demasiado en los gatos...)
Un abrazo.
¡Ojo al gato!
(que díria Jose María García)
Voy a dejar un platito con leche esta noche a ver si viene la pfeifer a casa...
Que quieres que te diga....Me gustan los gatos.
rrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr.
Y aún hay quien se queja cuando le dan gato por liebre...
mmmmm¡, me encanta esa escena..., es... cómo diría yo?
bueno, mejor no lo digo, que me da vergüenza.
Touché! Oh, mon Dieu! Tu es si adroite! Seulement un second mais on dirait un siècle.
pesoj agerbaf
No es por nada, pero a Batman le ha dado un "gat-illazo". Como diría Piolín: pobre gatito lindo con alas.
Ahora bien, que una gata de siete vidas le saque el jugo a un segundo, es para morderse los labios!!!
¡¡¡lo que me gusta a mi esta gatita!!!
Pienso que la mujer tiene mucho de gato, y el gato mucho de mujer. Así que Catwoman es una perfecta combinación.
¡Saludos, Sintagma!
magnífico y concentrado texto... recoge el momento perfectamente.
besos.
esa linda gatita...
(qué peligro, madre)
un abrazo
¿Tú crees que la armadura del tontol'haba de Batman se habrá dado de sí? :)
Pa mí que al contrario, pa mí que en cuanto la vió dar el saltito se encogió todo él.
Le Chat
I
Dans ma cervelle se promène,
Ainsi qu'en son appartement,
Un beau chat, fort, doux et charmant.
Quand il miaule, on l'entend à peine,
Tant son timbre est tendre et discret ;
Mais que sa voix s'apaise ou gronde,
Elle est toujours riche et profonde.
C'est là son charme et son secret.
Cette voix, qui perle et qui filtre
Dans mon fonds le plus ténébreux,
Me remplit comme un vers nombreux
Et me réjouit comme un philtre.
Elle endort les plus cruels maux
Et contient toutes les extases ;
Pour dire les plus longues phrases,
Elle n'a pas besoin de mots.
Non, il n'est pas d'archet qui morde
Sur mon coeur, parfait instrument,
Et fasse plus royalement
Chanter sa plus vibrante corde,
Que ta voix, chat mystérieux,
Chat séraphique, chat étrange,
En qui tout est, comme en un ange,
Aussi subtil qu'harmonieux !
II
De sa fourrure blonde et brune
Sort un parfum si doux, qu'un soir
J'en fus embaumé, pour l'avoir
Caressée une fois, rien qu'une.
C'est l'esprit familier du lieu ;
Il juge, il préside, il inspire
Toutes choses dans son empire ;
Peut-être est-il fée, est-il dieu ?
Quand mes yeux, vers ce chat que j'aime
Tirés comme par un aimant,
Se retournent docilement
Et que je regarde en moi-même,
Je vois avec étonnement
Le feu de ses prunelles pâles,
Clairs fanaux, vivantes opales
Qui me contemplent fixement.
Charles BAUDELAIRE, Les Fleurs du mal (1857)
me quedo con "pero ahora, en este segundo eres mio".......da juego
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